Histoire de couple (soft)

Bonsoir a tous, je suis nouvelle sur le forum , je suis âgée de 17 ans et je suis passionnée d'histoires érotiques. Je vous partage la mienne en espérant que ça va vous plaire. Pour changer le contexte je me suis a la place du garçon pour cette histoire, je trouvais ça intéressant. J'attends vous avis avec une très grande impatience. Bonne lecture et pardon pour les fautes d'orthographe.


La lumière est à peine éteinte que l’odeur des popcorns envahit déjà la salle obscure. Tu te colle à moi.  As-tu peur que je m’en aille ? Je laisse mes bras t’enlacer et prendre tes épaules.  Ton souffle chaud dans mon coup me réclame un baiser. Je laisse délicatement mes lèvres se coller aux tiennes. Je sens encore la chaleur de tes lèvres et l’amertume du chocolat chaud que nous avons pris avant la séance. Blotti contre moi, je laisse le bout de mes doigts savourer ta peau.  La climatisation de la salle de cinéma semble avoir été poussée à fond. Et malgré la chaleur de cet après midi de juillet tu as froid et te ressers encore plus contre moi.Un baiser sans fin. Le générique du film retenti… Tu n’as pas non plus envie que l’on arrête de s’embrasser… Le moment dur, et je voudrais qu’il dur encore. Ma main sur ton épaule glisse délicatement et presse ta peau. J’aime la sentir. J’aime la ressentir. J’ai envie de l’avoir toujours coller à moi, comme si elle faisait partie de moi. Je glisse ma main sur ta cuisse ; J’avais oublié que tu portais ta jupe blanche. J’ai immédiatement reconnu son tissu léger et doux.  J’adore sentir ce contact : Ta cuisse musclé, l’étoffe diaphane et souple que mes doigts entrainent à glisser sur ta peau.  Je ne fais qu’effleurer mais je sais déjà que ce moment est d’une douceur sans pareil.Nos lèvres continuent de s’entremêler. Nos langues se rencontrent. Subtilement pour commencer. Je sens déjà le bout de ta langue qui tourne délicatement sur la mienne et qui m’invite à ne surtout pas relâcher ton épaule et encore moins retiré ma main de ta cuisse.Les premières paroles du film se font entendre. Je n’en perçois pas un mot. Je suis ailleurs, je suis transporté. Je ne sais d’ailleurs pas ou je suis, je sais juste que l’amour de ma vie est en train de m’embrassé et je savoure ce moment. Au fil des minutes nos langues se sont emmêlées.  Je ne résiste plus, il me faut ta peau. C’est comme une drogue dont je suis totalement sous l’emprise. Dans le fond de cette salle presque vide je ne crains rien, et je laisse alors glisser ma main sur ta cuisse. Ta peau me fait toujours cet effet que je ne sais pas qualifier. Je passe ma main à plat dessus. D’une façon assez ferme et franche, mais la parcours avec lenteur. Délicatement, à mesure que les minutes s’égrainent, je commence à la prendre, à la presser, la masser doucement.  L’autre main s’est faufiler jusqu’à ta hanche et commence à soulever ton débardeur pour se glisser dessous. Tu ne résiste plus non plus. Je sens tes hanches plus mobiles, tes cuisses s’écarter légèrement pour me laisser prendre l’intérieur au creux de ma main. Ta main s’est elle aussi enhardi jusqu'à venir sur mon jean au niveau du haut de ma cuisse, et commence à le caresser fermement.Tu sens ma main plus ferme encore sur ta cuisse. Je les sens se séparer l’un de l’autre… comme pour m’inviter, comme pour me provoquer : « Tu n’es pas cap au ciné ! ». J’ai envie de relever ce défi. Je ne peu pas ne pas le relevé. Notre baiser s’éternise et devient plus langoureux encore. Ta main glisse et se rapproche de la fermeture éclaire de mon Jean. Tu n’essayes pas de la descendre. Tu te contente de poser ta main dessus, tu sais que tu me rends fou, tu sais que tu me provoque. Tu sens une de mes mains sur ton ventre. Elle l’effleure, à peine, le caresse légèrement. L’autre commence à se glisser sur l’élastique de ta culotte. Au rythme de ta main qui se plaque sur ma cuisse et qui remonte lentement, nos langues se caressent frénétiquement. Mes doigts continuent de parcourir le bord de ta petite culotte. Je sens l’élastique et commence à le longer jusqu’à ta hanche. Redescend enfin jusqu'à l’intérieur de ta cuisse pour remonter sur le tissu et commencer à effleurer tout doucement l’intérieur de ta cuisse… Le film continu, les minutes s’égrainent. Ta main commence à frotter sur mon jean au niveau de ma fermeture éclaire. Le baiser devient plus que torride. Au fur et à mesure que ta main s’accélère sur moi, tu sens mes doigts frotter le tissu sur ton clitoris. Je le sens de plus en plus gonflé, je sens l’intérieur de ta cuisse de plus en plus chaud. Mon autre main sur ta hanche a déjà rejoint ta poitrine et soulever légèrement ton soutien gorge. Mes doigts se délectent déjà d’un téton et le caresse en le pinçant entre mes doigts.Tu sembles perdre ton contrôle. Comme pour moi l’envie est plus forte. Tu commences à ouvrir mon jean au moment même ou j’ai décidé de laisser ma main rejoindre tes lèvres dans ta petite culotte déjà trempée de ton désir.Je sens déjà tes petites lèvres chaudes sous le bout de mon doigt. Je ne résiste pas à l’envie de les effleurer. Je m’y attarde et je savoure l’engouement de ta langue sur la mienne. Ta main elle se faufile déjà dans mon boxer et commence à presser mon sexe tendu par le désir de te sentir me caresser.Mes doigts rejoignent enfin ton clitoris. Quelques effleurements. Puis une petite pression. Mais ta langue m’appel… Je ne résiste pas et commence à le frotter plus fermement, lentement, mais toujours une pression intenseTa main me saisie. Je me laisse faire. J’ai envie de la sentir. J’ai envie que tu sois intense avec moi. Peu importe le lieu, peu importe l’heure : J’ai envie de toi, j’ai envie que tu t’occupes de moi.Tu la frotter une première fois lentement sur toute sa longueur. Très lentement ta main descend découvrant mon gland et le laisse se frotter sur le tissu. J’imagine déjà ta bouche … Pourquoi avons-nous décidé d’aller au cinéma ?Puis ta main remonte. La pression ne baisse pas, et le va et viens démarre. Langoureux, savoureux… Au rythme de ma langue qui joue avec la tienne. Puis les mouvements se font encore plus forts. Plus intense. Je dois commencer à me contrôler, ta main, ta langue me rend fou de désir. Tu accélères encore. Tu veux me faire craquer tu veux que je n’en puisse plus et que je me laisse aller dans ta main.Je te laisse faire, je n’oppose aucune résistance à ton envie… A notre envie… Mes doigts eux, continuent leur œuvre. Je me laisse guider par ta cadence. Je ne les contrôle plus. Allant glisser sur ton clito, s’en allant jusqu’à tes lèvres pour continuer jusqu’entre tes fesses. Puis remontant presser ton clitoris intensément, te pénétrant lentement. De temps en temps accélérant. Je sens que tu commences toi aussi à avoir du mal à résisté a l’excitation. Ta main va de plus en plus vite. Je la sens vraiment intense forte. Mon sexe devient ton jouet. Je ne veux plus que tu t’arrête. Je n’ai plus envie de résister, je suis à la limite de jouir dans ta main.J’ai réussi à poser mon pouce sur ton clito, deux doigts continuent d’aller et venir dans ta fente. Mes pressions se font plus forte, plus intenses. Je veux te sentir ton corps se crispé, ta langue se contracter, tes gémissement s’étouffer pour ne pas alerter les 3 autres cinéphiles.Le générique de fin va retentir quand dans une dernière pression violente tu te relâche totalement. La sensation de ta langue sur la mienne me laisse aussi complètement aller. Quelques instants s’écoulent. Nos mains ne bougent plus. Essoufflés, nous échangeons un dernier baiser. Je sors ma main, et un petit sourire viens accompagner mes doigts jusqu’à ta bouche. Nos langue viennent les lécher, les sucer. Ta main rejoins la miennes. Nos langues se régalent et suce nos doigts lentement. La lumière se rallume. Nous avons à peine eut le temps de rajuster nos vêtement. Aucun regard sur nous. Je ne pensais pas que nous ayons eut l’air si discret. Lentement nous nous dirigeons vers la sortie. Sur ma droite une porte, marquée par l’inscription « Service ». Un rapide coup d’œil autour de moi et je déduis qu’il n’y a pas de surveillant, ni caméra. Une pression sur la poignée… La porte est ouverte. Je te lance un petit sourire, et nous nous engouffrons dans un couloir. La pression est trop forte… mêlée de crainte et de désir nous ne parvenons plus à nous contrôler. Sur ma droite une porte : je t’attrape par le bras et ne prend pas le temps de l’ouvrir. Je te colle contre cette porte et commence à t’embrasser. Lentement mes mains glisse sous tes fesses et te soulève. Je sens tes cuisses enlacer ma taille, tes bras autour de mon cou et ta langue qui s’emmêle déjà à la mienne.Mes mains pressent tes fesses fermement. Mes hanches commencent à onduler sur ta jupe relevée.  Je commence à passer mes doigts dans ta culotte, j’ai envie de sentir ta peau. Je me colle plus encore à toi, j’ai envie que tu me sentes et que tu ressentes mon désir.Tu décolles ta bouche et me souris. Tu me relâches… Je ne comprends pas trop ou tu veux en venir… tu m’agrippes par le bras et me plaque a ton tour contre la porte. Je sens tes mains glisser sur mon jean et dégrafer les boutons. Ta bouche glisse le long de mon torse. Tes mains sont déjà en train de presser mon sexe à pleine main. Il est déjà hyper tendu. A l’idée de sentir bientôt ta bouche et ta langue je perds tout contrôle. Mes mains caressent tes cheveux. Je sens que tu le sort de mon boxer.  Tu commences à le prendre en main, le presser fort. Tu fais apparaitre mon gland et l’effleure de tes lèvres humides. Tu laisse passer ta langue dessus en caressant le bout. Puis commence à l’avaler tout en me caressant encore plus. Je sens ta bouche pleine de désire. Je sens ta langue pleine de malice. Tu accélères ta main, tu continues d’avaler encore plus fort mon sexe dans ta bouche. Je sens que tu l’aspires tout en léchant. La sensation devient à la limite du supportable. Je ne sais pas combien de temps je tiendrais.Ma main passe dans mon dos et ouvre la porte. Je t’invite à remonter, à m’embrasser. Et nous nous engouffrons dans ce bureau totalement inconnu. La pièce est sombre, à peine éclairée. Il y a juste un grand bureau ou sont posés quelques feuilles. Je t’agrippe par les hanche et t’emmène sur le bord de se bureau tout en t’embrassant. « A mon tour ! ». Je t’assois sur le bureau et relève ta jupe. Quelques seconde je suis déjà agenouillé devant toi et commence à descendre ta culotte. Je la range méticuleusement dans ma poche. La pliure de tes genoux posés sur mes épaules, et mes doigts qui commencent déjà a caressé ton clitoris. Ma langue glisse doucement sur le bord de tes lèvres, et s’enfonce délicatement dans ta fente encore plus trempée que pendant le film. Mes doigts s’écartent et viennent s’enduire de mouille pour l’étaler jusqu’entre tes fesses.Ma langue elle remonte et commence à aspirer ton clitoris, à le sucer assez fermement. Pendant se temps tu sens mes doigt qui commencent à jouer avec tes lèvres, à te pénétrer…Un doigt glisse d’abord délicatement. Tes mains quittent ma tète et commencent à prendre tes seins. Les pressent très fort en les remontant. Puis doucement mon doigt progresse… plus profond… Tu le sens de plus pressé de te prendre. Il ressort, et deux reviennent en toi. Plus profond que le premier. Tes mains deviennent encore plus pressantes sur tes seins. Ton attitude me rend dingue. Je n’ai plus qu’une envie : te faire jouir.Des vas et viens langoureux qui s’accélèrent et ma langue qui se presse encore plus sur ton clitoris. Je commence à descendre ma bouche. Mes doigts viennent alors sur ton clitoris pour le pincer, le masser plus fort encore que ma langue ne le faisait. Puis tu sens enfin ma langue qui glisse entre tes lèvres, se met à tourner lentement pour commencer. Au fur et à mesure que mes doigts frotte ton clitoris tu sens ma langue qui te pénètre un peu plus et tournant un peu plus vite…Puis je la dégage et utilise ma deuxième main pour caresser ta petite fente trempée de désir. Ma langue glisse doucement entre tes fesses. Tu écartes encore plus tes cuisses et laisse ma langue passer en direction de ton petit trou. Je commence à l’effleurer. A le caresser délicatement. Je vois tes mains écraser ta poitrine avec force et passion. Mon doigt s’enfonce dans ta fente. L’autre main continue un massage langoureux sur ton clitoris. Tu sens ma langue caresser entre tes fesses, sur toute leur longueur. Lentement aller et venir de haut en bas. Passant et effleurant délicatement ton petit trou tout chaud et couvert de ta mouille.Je commence à le lécher, le caresser du bout de ma langue. Une de tes mains glisse et vient l’écarter pour moi. La situation m’excite plus encore, je commence à le prendre, le pénétrer de ma langue. Plus tu l’écartes et plus ma langue glisse en lui. Je te sens de plus en plus te tortiller sur cette table. Mes doigts s’accélèrent. Je sens les contractions de ta fente sur mes doigts. Tu es à deux doigts de jouir…Je remonte doucement ma bouche. La passant une dernière fois sur ta fente, ton clitoris. Ma langue remonte encore. J’arrive à ta bouche et nous nous embrassons sauvagement. Je suis collé à toi, ta main est déjà a pied d’œuvre pour détacher mon boxer et libéré mon sexe plus que gonflé par le désir de toi.Je le sens libre et directement se coller a ta fente. J’ai envie de te faire l’amour. J’ai envie aussi de te faire languir.Je reste appuyé à ton clitoris. Tu me sens vraiment dur… je me frotte langoureusement contre toi. Je sens tes lèvres chaudes. Je continue de me coller à toi, plus fort encore. Tes mains viennent s’appuyer sur mes fesses comme pour m’inviter a encore plus de pression. Tu me faire onduler les hanches. Tu m’invite a encore plus de pression… La tentation est de plus en plus forte… J’ai envie de te faire l’amour. Malgré la raideur du bureau et l’ambiance tres sombre de se bureau je ne pense encore qu’a ton bonheur. Dans un dernier mouvement de frottement mon sexe se retrouve entre tes lèvres. Tu n’hésite pas un instant et presse mes fesses fermement pour me faire pénétrer en toi d’un coup sec.Juste un souffle intense s’échappe de ta bouche. Je reste coller à toi…Lentement je m’agrippe à toi. Ma bouche se recolle à la tienne. Nos langue s’enlacent et s’emmêlent un instant. Puis délicatement tu relâche la pression sur mon bassin pour me donner le champ libre.Comme invité à te faire l’amour sur cette table, je me laisse emporter au rythme effréné de nos langues entrelacées. Allant et venant entre tes cuisses. Accélérant encore quelque peu le rythme.Tes souffles se font gémissements. Nous devons quand même nous Controller pour ne pas nous faire repérer. Mais pris dans un élan de folie, je ne résiste plus à cette envie d’aller en toi plus fort. De t’agripper par les hanches et de laisser aller mes coups de reins puissant et intense. Tes gémissement se font de plus intense de plus en plus rapprocher. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps. Je lis dans tes yeux une envie de te relâcher a laquelle tu ne résistes pas. Tu commences à jouir. Tes gémissements intenses se font entendre. Peu importe l’endroit peu importe l’heure il n’y a plus que ton bonheur et ton plaisir a mes yeux. Je me laisse aller encore à quelques coups de hanche et à ton dernier cri je m’extrait de toi et me laisse jouir sur ton ventre.Quelques instant s’écoulent ou nous somme coller l’un a l’autre. Nos cœurs battent l’un contre l’autre. La pièce sombre semble être éclairée de nos yeux qui pétillent. L’atmosphère s’électrifie de nos corps enlacé. Je me décolle de toi. Laisse re-glisser ma bouche jusqu'à ton ventre. Je ne veux pas laisser ton corps comme ca. Je lèche le résultat de mon plaisir délicatement pour revenir t’embrasser une fois encore. Ton baiser est plus que torride. Plus qu’amoureux. J’y sens ton âme entière qui se délecte de cet instant de passion. Passion a laquelle nous avons mêlée l’insolite et le risque, et qui ont rendu cette instant encore plus magique. Quelques instants plus tard tu relèves mon boxer. Je tente de remettre ton teeshirt et ta jupe en place. Et c’est avec un immense sourire que nous sortons de ce bureau. Toujours aucun ne bruit dans ce couloir. Nous nous en extirpons en veillant bien à ne pas être surpris et nous dirigeons vers la sortie comme tant d’autre quidam qui ont fini leur séance. Plus tard nous voilâmes toujours mains dans la main à l’arrêt de bus. Il est tôt dans l’après midi, et celui-ci arrive presque vide. Une fois dedans nous restons debout collé à la main courante et à échanger regards complices et baiser amoureux. En glissant ma main dans ma poche je me rends compte que j’ai oublié un détail : Ta petite culotte est toujours en ma possession. Tu me souris alors que je glisse ma main discrètement sur tes fesses pour te rapprocher de moi et éviter que ta jupe ne virevolte aux yeux des quelques voyageurs présents dans le bus.Nous voici à notre arrêt. Toujours mains dans la main nous marchons en direction de mon immeuble. Arrivé à l’assener tu te rapproches de moi et fini par me poser un doux baiser sur les lèvres.Les portes s’ouvrent et nous nous engouffrons dans cette boite ou nul ne peu ni nous voir ni nous entendre.Tu reviens m’embrasser. Tes bras autour de mon cou.  Ton baiser est doux… Chaud. Il a maintenant une tout autre saveur que celui qu’il avait tout a l’heure dans le bureau du cinéma.  Je le sens tellement amoureux, tellement pris de sentiments et de tendresse que je me laisse aller au doux plaisir de tes lèvres sur les miennes. Arrivé à notre étage, je n’ai pas envie de sortir. Mais je suis pressé de te faire découvrir la surprise que je t’ai préparée…« Fermes tes yeux ! » 



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